mercredi 22 décembre 2010

La cité des Athéniens et la fête des Panathénées.

Vocabulaire.

Acropole : colline sur laquelle se dresse le sanctuaire dédié à Athéna.
Agora : place publique de la cité d’Athènes.
Barbare : étranger non grec.
Citoyen : habitant admis à participer aux affaires de la cité.
Démocratie : forme de gouvernement dans lequel le pouvoir appartient aux citoyens.
Ecclésia : assemblée des citoyens d’Athènes.
Esclave : personne non libre soumise à un maître qui est son propriétaire.
Guerres médiques : guerres opposant les cités grecques à l’Empire perse entre 490 et 479 avant J-C.
Guerre du Péloponnèse : guerre opposant les cités grecques regroupées autour de Sparte et d’Athènes, entre 431 et 404 avant J-C.
Hoplite : combattant grec à pied (fantassin) lourdement armé.
Magistrat : citoyen choisi par pour exercer une fonction publique.
Métèque : étranger libre, de langue grecque, vivant à Athènes.
Orateur : personne qui prononce un discours public.
Pnyx : colline sur laquelle se déroulent les débats de l’Ecclésia.
Procession : défilé en l’honneur d’un dieu ou d’une déesse (chants et prières).
Stratèges : nom donné aux dix élus par l’Ecclésia chargés de l’armée, de la flotte, des relations avec les autres cités et des fêtes religieuses (Périclès est le plus célèbre).


La fête des Panathénées.

Où et quand se déroule-t-elle ?

Dans la cité d'Athènes, vers le Ve siècle avant Jésus-Christ.

Quelle est la nature de cette fête ?

Il s'agit d'une fête à la fois religieuse et civique. A Athènes, les magistrats élus (comme les archontes) fixent le cadre du culte dans la cité. Ils règlent l'itinéraire des processions, d'un point à un autre de la ville. Ils déterminent le calendrier religieux longtemps à l'avance. Ils veillent au financement des cérémonies, surtout par l'intermédiaire des citoyens les plus riches. Tous les quatre ans, un culte est rendu à la déesse protectrice de la cité, Athéna : on parle de culte poliade (de polis, la cité en grec), qui mélange religion et politique.

Qui participe à cette fête ?

La majorité de la population athénienne n'est pas citoyenne. Vers 480 avant Jésus-Christ, on peut estimer la population athénienne à environ 150 000 personnes. Les citoyens, c'est à dire ceux qui participent au vote, aux décisions politiques et qui défendent la cité (des hommes, nés de deux parents athéniens, ayant accompli leur service militaire) sont au nombre de 30 000. Tous les habitants de la cité participent en principe à cette fête : citoyens mais aussi jeunes, femmes, esclaves et métèques. On compte ainsi environ 40 000 esclaves et moins de 5 000 métèques. on peut déduire de ces chiffres la présence de 75 000 femmes et enfants (selon V. Ehrenberg). Ces personnes ne participent pas à la vie politique de la cité ni à sa défense : elles ne sont pas citoyennes. La fête des Panathénées (de tous les Athéniens en grec) est un moyen de faire participer tous les habitants à un acte politique et patriotique : rendre un culte à la déesse protectrice de la cité lors d'une manifestation opulente qui cherche à concurrencer les grandes manifestations panhelléniques de l'époque (comme les Jeux olympiques).

Dans quels lieux se déroule la fête ?

Une procession passe la porte du Dypilon (située dans la partie nord-ouest de l'enceinte qui entoure la ville), remonte la voie sacrée (ou dromos) vers l'Acropole, pour s'acheminer vers le sanctuaire dédié à Athéna, entre le Parthénon et l'Erechtéion. Pour la carte, par ici.

Comment se déroule fête ?

La veille, les jeunes gens participent à des célébrations nocturnes (course au flambeau, danses, chants dont le fameux hymne homérique à Athéna). Le lendemain, la procession (ou pompè) traverse la ville avec le péplos, un vaste vêtement brodé durant neuf mois par les ergastines, choisies parmi les meilleures familles de la cité. Sur ce vêtement est brodé le combat victorieux des dieux de l'Olympe sur les Titans. Le péplos est placé sur un char en forme de navire, comme une voile. Arrivé à l'Acropole, le péplos est déposé sur la vieille statue en bois représentant la déesse, située dans le sanctuaire à l'intérieur de l'Erechtéïon (le xoanon). Puis des sacrifices sont organisés, notamment une hécatombe gigantesque qui permet de nourrir toute la population. Des concours sont ensuite organisés, ouverts à tous les Grecs, dont le prix est une amphore panathénaïque remplie d'une huile issue des oliviers sacrés de la déesse.

Quelles sont les traces de cette fête ?

Phidias a supervisé la sculpture de cette procession sur la frise ionique du Parthénon, temple principal du sanctuaire de l'Acropole.

Quel était le décor de la fête des Panathénées ?

Voici une séquence en 3 D du Parthénon dans son état actuel…


…et dans l’état qu’il avait sans doute au Ve siècle avant J-C avec le reste de l'Acrpole.


La frise des Panathénées témoigne de l'existence et du déroulement de cette grande fête civique.



Pour aller plus loin :

Cette page recense des adresses permettant de regarder et d'analyser la frise de Phidias. Par ici.

Deux exercices pédagogiques  : sur le plan de la frise des Panathénées -par ici et sur le déroulement de la fête lui-même -par ici

Un document qui décortique la fête à travers les restes de la frise de Phidias. Par ici.

lundi 20 décembre 2010

Les droits de l'Enfant.

Vocabulaire :

Autorité parentale : droits et devoirs des parents à l’égard de leurs enfants.

Devoir : c’est ce qu’un règlement intérieur ou une loi impose de faire, pour le bien de la collectivité et de l’individu.

Droit : c’est ce qu’un règlement ou une loi permet de faire, dans des limites bien définies.

Mineur : personne qui en France, n’a pas atteint la majorité légale (18 ans).

L'un des premiers droits d'un enfant à la naissance est celui d'avoir une identité propre, garantie par l'État dans lequel il vit. La jouissance de ce droit paraît naturelle en France. Mais ce n'est pas toujours le cas dans certaines régions du monde en développement. Voici une vidéo produite par l’UNICEF. Elle cherche à montrer aux parents d’Afrique de l’Ouest (ici le Niger) qu'il est nécessaire de déclarer ses enfants à l’état-civil dés la naissance. Dans cet exemple, le parcours scolaire d’une jeune fille en est grandement facilité.



Mais dans certains cas, c'est l'État qui n'assure pas sa mission de protection de l'identité des nouveaux-nés, comme c'est le cas au Pérou. Par ici (site d'Amnesty international).

L'année dernière, nous avons fêté les vingt ans de la Convention internationale des Droits de l'Enfant (1989), qui garantit des droits fondamentaux (éducation, expression, santé sécurité, identité...). Selon cet expert associatif, le bilan de ce texte dans le monde et en France reste mitigé.



L’enfant est un élève. Comme dans la vie, au sein d'un établissement scolaire, il a des droits  mais aussi des devoirs. Voici un exemple de règlement intérieur (celui du collège Jehan Le Povremoyne  de Saint Valéry en Caux), qui  fait bien la distinction entre les droits et les devoirs des élèves. Peu de collégiens fréquentent un conseil de discipline. A ceux qui ne savent pas ce que c'est,  ni comment cela fonctionne et pourquoi on y comparait, voici un témoignage édifiant et instructif.

dimanche 19 décembre 2010

La pauvreté en France, au Mali et en Inde à différentes échelles.

Comment peut-on définir la pauvreté ? On peut s'en tenir à une définition monétaire avec le seuil de pauvreté (qui fixe un niveau de revenu propre à chaque pays, au-dessous duquel on peut être considéré comme pauvre). A l'échelle mondiale, ce seuil correspond  à un revenu journalier de 1,25 dollars par habitant (soit 0,83 euros). En France, un individu est considéré comme "pauvre" quand ses revenus mensuels sont inférieurs à une somme située entre 791 et 949 euros (données 2008). Moins de 12% de la population française se situe sous le seuil de pauvreté. La France est un pays riche. Au Mali, le seuil de pauvreté est fixé autour de 3060 Francs CFA mensuels (moins de 5 euros). Plus de 60 % de la population malienne se situe sous ce seuil. Le Mali est un pays pauvre. En Inde, le seuil de pauvreté est différent en milieu urbain (510 roupies mensuels, près de 9 euros) et en milieu rural (360 roupies mensuels, 6 euros). Un peu de 30 % de la population indienne se situe sous ce seuil. L'Inde est un pays émergent.

Un autre indicateur créé par le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement),  l'indicateur de pauvreté humaine (IPH), prend le revenu journalier d'une personne pour instrument de mesure. Si une population donnée vit avec moins de deux dollars américains par jour, elle est pauvre. Si elle vit avec moins de un dollar américain par jour, elle est extrêmement pauvre. La carte mondiale de l'IPH est à consulter par ici. La pauvreté monétaire est une notion relative.

Les indicateurs numéraires ne suffisent pas. Décrire la pauvreté, c'est aussi considérer des critères qualitatifs comme l'accès aux soins, les conditions matérielles de vie (logement, transport) ou le niveau d'instruction (école) et d'ouverture culturelle (accès aux médias). En outre, il faut tenir compte de l'échelle et du niveau économique des espaces dans lesquels un type donné de pauvreté s'inscrit. La pauvreté n'a pas la même apparence ni la même intensité en France, au Mali ou en Inde, en ville ou à la campagne, dans un centre urbain ou une périphérie.

A petite échelle : la pauvreté en France. 

En France, la pauvreté est en augmentation depuis quelques années. Elle peut toucher passagèrement une partie de la population. Elle se concentre chez les jeunes à leur entrée sur le marché du travail, chez certains retraités, chez les femmes (surtout celles qui sont peu qualifiées et isolées), les personnes les moins qualifiées et les populations récemment immigrées. Elle touche des actifs (pas forcément des chômeurs) qui éprouvent des difficultés à payer un loyer et des factures, à s'équiper (la voiture), à accéder à des formes communes de loisirs, voire à se nourrir. Elle se concentre dans les périphéries dites difficiles (les "quartiers") des grandes métropoles.



A moyenne échelle : la pauvreté dans les campagnes maliennes.

Le Mali est un pays rural classé parmi les dix PMA (pays les moins avancés) les plus pauvres. La population pauvre se concentre essentiellement en milieu rural. Voici des statistiques montrant les difficultés des familles rurales à s'équiper en matériel agricole et domestique :

Pourcentage des familles les moins pauvres qui possèdent en 2008 :
-un araire : 28%
-une charrette : 27%
-un tracteur : 0,1%
-une pompe électrique pour puiser de l'eau au puits : 0,7%
-une voiture : 6,4%
-une télévision : 27%
-un téléphone : 4%           

Certains témoignages filmés rendent comptent de cette pauvreté au sein de villages traditionnels, avec l'absence apparente d'équipements extérieurs (routes et trottoirs, égouts, infrastructures électriques).



Pourtant, cette vidéo (TV 5) montre qu'il est possible de nuancer une vision un peu trop pessimiste des conditions économiques de cette nation d'Afrique de l'Ouest. Par ici. Reste à voir si la population pourra profiter de ces perspectives...

A plus grande échelle, un objet de communication courant comme le téléphone portable a révolutionné en quelques années la vie quotidienne d'une partie de la population rurale, en permettant un désenclavement régional, voire continental des populations et la rupture de leur isolement.

"[...] Le téléphone portable est utilisé aujourd’hui en milieu rural dans le domaine de l’agriculture et de l’élevage. L’irrégularité de pluie en période hivernale ne laisse pas les paysans indifférents et chacun a envie de savoir où il pleut et où il ne pleut pas. Pour cela, ils utilisent le téléphone pour s’informer entre eux de village en village. De même, ils s’informent pour l’abondance d’herbes pour les animaux à tel ou tel lieu. Les peulhs nomades, voulant quitter un lieu pour un autre avec leurs animaux s’assurent d’abord de la bonne piste pour éviter les champs. En cas de perte d’animal auparavant, le paysan en vélo, passe de village en village à la recherche de son animal. Si c’est un cas de vol, des fois il se trouve sur la trace du voleur, mais celui-ci ayant longtemps pris la route, le propriétaire ne peut pas l’atteindre. Aujourd’hui, le système de recherche d’animaux égarés est très simple. Avec une carte de recharge dans le téléphone, les villages environnants sont très tôt informés et le propriétaire a forte chance de retrouver son animal. En cas de panne de moto et de manque de carburant entre les villages, le téléphone est utilisé pour appeler un parent à venir au secours. Il y a beaucoup d’autres petites activités pour lesquelles le téléphone est utilisé en milieu rural et beaucoup de personnes en possèdent aujourd’hui. Cela a été aussi une occasion pour les enfants en ville ou dans d’autres pays de rester en permanence en contact avec leurs parents au village. La vieille grand-mère au fond de sa case au village, ne passe plus la journée à demander la condition de vie de son petit fils à l’aventure comme avant. Un jeune à l’aventure, loin de ses parents, est toujours et immédiatement informé à partir du village s’il y a un événement important dans la famille."

 D'après Boukary Konaté, www.Avenue 223.com, 15 décembre 2009.

A grande échelle : la pauvreté à Bombay (Inde).

A une plus grande échelle, celle d'une métropole comme Bombay (ou Mumbai), les bidonvilles montrent d'autres formes de pauvreté. Danny Boyle les a illutrés de manière bien caricaturale dans son Slumdog Millionair (2008). Voici la séquence initiale, qui décrit un slum à l'occasion d'une poursuite entre des enfants des rues et la police.  


Cette vidéo (TV  5) décrit les conditions de vie d'une famille composée de femmes abandonnées par leurs maris et sans travail. On devine la  promiscuité, la faiblesse des revenus et des équipements domestiques, les problèmes de santé, la monotonie d'une vie dévolue entièrement au travail et à la recherche de nourriture. Par ici.

Cette vidéo, un rien excessive, montre  les forts contrastes de développement présents à Bombay. Cette métropole de 16 millions d'habitants (de 23 millions si l'on prend en compte la totalité de l'agglomération) est la capitale économique et culturelle de l'Inde (le fameux Bollywood), qui accumule pourtant des slums comme Darhavi (le plus dense d'Asie, avec plus de 700 000 personnes sur un peu plus de un kilomètre carré, aujourd'hui en voie de destruction).


Bombay Life - Contraste Richesse Pauvreté
envoyé par zoutou. - Evadez-vous en vidéo.

Pourtant, on trouve à Darhavi une économie informelle fondée sur le recyclage des déchets de la métropole. Ici, malgré la faiblesse des salaires et la dangerosité du travail de trieur, une activité lucrative et écologique s'est peu à peu mise en place.

"[...] A l'entrée de l'allée, le sol d'un petit local est jonché de dizaines de milliers de bouteilles en plastique. Un fort relent s'en dégage. Deux femmes et un homme s'attachent ici à séparer les bouteilles en fonction de la couleur et la qualité de leur plastique. Ils les répartissent ensuite dans les gigantesques sacs qui leur sont assignés. Un peu plus loin, dans un grenier poussiéreux, trois femmes sont accroupies à trier les morceaux d'un plastique blanc. Ailleurs, un homme se consacre à fusionner les morceaux de fer ramassés dans les décharges. Les ateliers de ce type sont légion dans Dharavi. Possédés par des propriétaires privés, ils emploient généralement les familles de ceux-là même qui ramassent les ordures dans la rue ou dans les décharges. On y trouve le plus souvent des femmes ou de jeunes hommes qui seront payés entre 80 et 150 roupies (1,15/2,15 euros) pour une journée de labeur. Une fois les déchets triés, ils sont vendus à de petits marchands généralistes (scrap-dealers ou littéralement « marchand de morceaux ») qui achètent en vrac tous types de déchets à des prix dérisoires. Lorsque qu'un type de marchandise est en quantité suffisante, généralement de quoi remplir un camion, ces petits marchands le revendent à de plus gros négociants, spécialisés eux. Un peu plus loin dans le bidonville, là où la ruelle parsemée de flaques noires devient une modeste rue pavée, se trouve justement l'entrepôt d'un de ces commerçants spécialisés. Inutile de demander à Sharash Jani dans quelle filière il est : les tas de papiers montant au plafond parlent d'eux-mêmes. Venant d'une famille émigrée du Gujarat, il a repris le business que son père a fondé il y a maintenant près de cinquante ans : « Je traite environ cinq à sept types de papiers différents. La cargaison m'est fournie à la fois par les petits vendeurs et les rejets industriels. J'accumule une quantité suffisamment importante et la revend ensuite aux usines de papier. » Il affirme acheter le kilogramme de papier entre 1 et 2 roupies et le revendre 18 aux usines. Son revenu mensuel se monte ainsi à environ 15 000 roupies par mois (215 euros). Lorsqu'on l'interroge sur les changements intervenus dans le circuit de recyclage au cours du temps, il répond : « Les quantités de papier ont diminué. Maintenant de plus en plus de choses sont en plastique, ce qui est beaucoup plus nuisible à l'environnement.» S'il remarque également « une mécanisation plus importante », cela ne concerne que les moyens mis à sa disposition pour déplacer sa marchandise vers les acheteurs et non pas le circuit qui amène le papier jusqu'à lui. En effet, l'amont de la chaîne de recyclage relève de l'artisanat le plus complet. La boucle est ainsi bouclée. Les ordures, une fois passée par le filtrage de Dharavi, retournent dans les usines, sont reconditionnées en produit de consommation et repartent dans le circuit. 80% des ordures ainsi recyclées à Bombay proviennent de Dharavi. Là où les responsables politiques ont déserté s'est développée toute une économie informelle, peu glamoureuse certes mais nécessaire au bon fonctionnement de la ville toute entière. Selon les estimations, près de 6000 personnes vivent de cette chaîne de recyclage.[...]"
D'après Alexandre Marchand, www.rue89.com, 14 octobre 2009.

En moyenne, ces activités de recyclage (donc de développement durable) permettent à un travailleur de Dharavi de gagner deux fois plus d'argent qu'un agriculteur du nord de l'Inde. Ajoutons en outre que la plupart des habitants de ce bidonville ont des emplois de fonctionnaires ou de commerçants dans le péricentre. Mais  ils sont contraints à vivre dans des logements informels à cause de la flambée des loyers que connaît actuellement le centre-ville.  

Objectif épreuves communes 6e : ce qu'il faut réviser.

Ce qu'il faut savoir sur : L'Orient ancien.

Connaître la carte de l'Orient ancien.

Savoir situer dans le temps la période des royaumes anciens d'Orient (IIIe millénaire).

Connaître le vocabulaire lié au royaume de l'Egypte ancienne (pharaon, dieu, pyramide, polythéiste)

Décrire la pyramide de Saqquarah et expliquer sa fonction.

Expliquer le rôle de l'écriture dans le royaume de Djozer (hiéroglyphes, scribe, fonctionnaire, impôt).

Ce qu'il faut savoir sur : le monde grec antique.

Connaître la carte du monde grec dans la Méditerranée antique avant le Ve siècle avant J-C.

Savoir placer sur une frise chronologique la date de la conception des œuvres d'Homère (VIIIe siècle avant J-C) et la période de la colonisation (VIIIe – Vie siècle avant J-C).

Définir ce qu'est une cité.

Définir une religion polythéiste et décrire quelques aspects des dieux et des héros grecs.

Raconter l'épisode d'Ulysse et des sirènes (Histoire des arts).

Raconter la fondation de Massalia par les Phocéens.

Décrire le site de Delphes et ses fonctions religieuses (rôle de la Pythie, célébrations et sacrifices).

Ce qu'il faut savoir sur : Mon espace proche.

Savoir localiser Sains sur une carte du Nord-Pas-de-Calais et de la France et sur des vues d'un globe virtuel (Google Earth). Savoir localiser la France sur une carte d'Europe et du monde et sur des vues d'un globe virtuel (Google Earth). Savoir localiser l'Europe, l'Océan Atlantique.

Savoir se situer en fonction des points cardinaux.

Décrire les paysages de la ville de Sains (centre, quartier pavillonnaire, cité des mines, nœud de communication).

Décrire le chemin qui mène de son domicile au collège.

Faire le croquis simple de Sains-en-Gohelle.

Ce qu'il faut savoir sur : Habiter la ville.

Situer Paris et le Caire sur un planisphère.

Décrire les paysages de centre et de périphéries de Paris et du Caire. Savoir les expliquer en fonction de l'habitat et des déplacements.

Faire le croquis du paysage du centre-ville du Caire.

Vocabulaire : population urbaine, centre, périphérie, pavillons, bidonvilles, grand ensemble, métropole, agglomération.

Objectif épreuves communes 5e : ce qu'il faut réviser.

Ce qu'il faut savoir sur : les débuts de l'Islam.

Connaître le vocabulaire de la religion (prophète, Coran, Sirâ, Hadiths, monothéisme, pèlerinage, djihad), ville (médina, souk, alcazar, caravansérail, hammam) )et de la mosquée (imam, minaret, mirhab).

Connaître les grandes étapes de l'expansion de l'Islam en Arabie (622, Hégire), en Orient (conquête de la Syrie-Palestine), en dans le monde méditerranéen (carte).

Connaître l'épisode de la révélation du Coran faîte à Mohammed, racontée par les trois sources de l'Islam.

Décrire la mosquée (histoire des arts) et la ville de Cordoue.

Décrire quelques aspects de la traite des esclaves transsaharienne (carte et voyage des esclaves de l'Afrique de l'ouest vers Cordoue).

Ce qu'il faut savoir sur : Seigneurs et paysans au Moyen-âge.

Décrire une seigneurie comme celle de Wismes avec le vocabulaire lié à la réserve et aux tenures.

Décrire quelques aspects du travail d'un paysan (calendrier agricole, tâches, méthodes, difficultés, rapports avec le seigneur) avec le vocabulaire lié aux impôts et aux travaux dus au seigneur (vilain, cens, corvée, banalité, serf, famine).

Décrire quelques aspects du mode de vie noble : la chevalerie (techniques de guerre et morale) à travers les textes de Chrétien de Troyes (Histoire des arts), la vie quotidienne au château, avec le vocabulaire (adoubement, courtoisie, château-fort).

Ce qu'il faut savoir sur : Les enjeux du développement durable.

Connaître les trois fondements du développement durable (développement économique, préservation de l'environnement, besoins sociaux).

Reconnaître un projet de développement durable.

Ce qu'il faut savoir sur : Les dynamiques de la population et le développement durable.

Localiser les pays les plus peuplés sur un planisphère.

Décrire l'évolution démographique de la Chine et son vocabulaire (croissance démographique, transition démographique, fécondité, mortalité).

Faire le lien entre la croissance de la population chinoise, ses besoins et la limite de ses ressources (nourriture, énergie, environnement).

Décrire et expliquer un front pionnier en Amazonie (Rondonia-Brésil).

samedi 18 décembre 2010

Brevet blanc.

Réviser :

Tous les chapitres d'Histoire et d'Education civique.

Epreuves comunes 5e.

Réviser :

Les enjeux du développement durable.

Les dynamiques de la population et le développement durable.

Les débuts de l'Islam.

Seigneurs et paysans au Moyen-âge.

Epreuves communes 6e.

Réviser :

Les royaumes de l'Orient antique.

Le monde grec.

Mon espace proche.

Habiter la ville.

Repères de brevet (3e).

Afin de vous entraîner, voici un lien permettant d'accéder au site de l'académie de Rouen. Ce dernier propose d'excellents exercices de mémorisation et de révision. A vous de jouer !


http://colleges.ac-rouen.fr/dunant-evreux/SPIP/html/revision-brevet/index.htm

Cahier de textes 5eC : histoire.

Kanga Moussa, empereur du Mali.

Entrée à travers la perception des populations africaines par les occidentaux du Moyen-âge : aspect négatif du clergé (vision de l’Enfer) et aspect positif des géographes et des commerçants (Atlas Catalan). Les élèves décrivent l’Afrique du Nord selon ce dernier document : mise en évidence de liens commerciaux avec le monde arabo-musulman et chrétien + description du personnage de Kanga Moussa.
Les élèves comparent l’image de la royauté africaine vue par un chrétien et l’image du souverain laissé par un historien arabe. Comparaison des symboles du pouvoir avec ceux vus chez Philippe-Auguste : on dégage une spécificité culturelle. Les éléments permettent de faire un récit de débuts de l’empire (évocation de Soundjata avec l’art oral des griots et différentiation entre la légende et l’histoire). Carte complétée.

-pour le 04/01/2011e : finir la fiche polycopiée (lire les trois textes et remplir le tableau au crayon de bois).

Cahier de textes 5eA : histoire.

Kanga Moussa, empereur du Mali.

Entrée à travers la perception des populations africaines par les occidentaux du Moyen-âge : aspect négatif du clergé (vision de l’Enfer) et aspect positif des géographes et des commerçants (Atlas Catalan). Les élèves décrivent l’Afrique du Nord selon ce dernier document : mise en évidence de liens commerciaux avec le monde arabo-musulman et chrétien + description du personnage de Kanga Moussa.
Les élèves comparent l’image de la royauté africaine vue par un chrétien et l’image du souverain laissé par un historien arabe. Comparaison des symboles du pouvoir avec ceux vus chez Philippe-Auguste : on dégage une spécificité culturelle. Les éléments permettent de faire un récit de débuts de l’empire (évocation de Soundjata avec l’art oral des griots et différentiation entre la légende et l’histoire). Carte complétée.

-pour le 04/01/2011 : finir la fiche polycopiée (lire les trois textes et remplir le tableau au crayon de bois).

Cahier de textes 5eB : histoire.

Interrogation écrite sur la leçon "féodaux, souverains et premiers états" + correction.

cahier de textes 6eD : géographie et histoire.

Devoir surveillé sur Habiter le monde rural et correction.

Trace écrite de la leçon sur les non-citoyens à Athènes recopiée dans le cahier.

cahier de textes 6eC : géographie et histoire.

Devoir surveillé sur Habiter le monde rural et correction.

Trace écrite de la leçon sur les non-citoyens à Athènes recopiée dans le cahier.

cahier de textes 3eC : géographie.

Interrogation écrite sur les repères de 6e et 5e + correction.

Le monde d'aujourd'hui : mobilité, urbanisation, développement.

I Les mobilités mondiales : flux, acteurs et territoires.

Etude de cas : l'aéroport JKF (Nex-York) étudié à trois échelles.

-Très grande échelle : Terminal de Steven Spielberg (2002). Analyse de la première séquence (destinations replacées sur le planisphère pour montrer les connexions transcontinentales et intercontinentales ; analyse des plans des flux de voyageurs et des raisons de leurs déplacements + scène des clandestins chinois ; analyse de la fonction d'un terminal aéroportuaire). Chaque élément analysé est situé à d'autres échelles.

-pour le 03/01/2011 : interrogation écrite sur les repères de 6e et 5e (histoire et géographie -cartes pp 378-379).

vendredi 17 décembre 2010

Cahier de textes 5eC : histoire.

Fin du travail sur Philippe-Auguste et trace écrite complétée sur la fiche (carte du royaume en 987 et 1223 + étude de la carte de la France au XVe -idée que Philippe-Auguste représente une étape dans la construction du pouvoir royal des Capétiens + plan de Paris au début du XIIIe siècle).

-pour le 17/12/2010 : interrogation écrite sur les premiers souverains et le système féodal.  

Cahier de textes 5eA : histoire.

Fin du travail sur Philippe-Auguste et trace écrite complétée sur la fiche (carte du royaume en 987 et 1223 + étude de la carte de la France au XVe -idée que Philippe-Auguste représente une étape dans la construction du pouvoir royal des Capétiens + plan de Paris au début du XIIIe siècle).

-pour le 17/12/2010 : interrogation écrite sur les premiers souverains et le système féodal.  

Cahier de textes 3eC : éducation civique.

Fin de l'explication sur les droits et les devoirs à l'échelle nationale. Travail sur le traité de Maastricht à l'aide d'un diaporama pour les droits de la citoyenneté européenne (avec rappel de l'esprit des grands textes européens de défense des Droits de l'Homme).

Cahier de textes 5eB : histoire.

Fin du travail sur Kanga Moussa. Correction du travail sur fiche (prélèvement croisé d'informations sur trois témoignages d'historiens arabes et classement de ces informations dans un tableau). Les élèves mettent en évidence certaines caractéristiques de l'empire du Mali au XIIIe (influence arabo-musulmane, flux commerciaux avec la méditerranée, existence d'une société fondée sur des lois, mais persistance de traditions orales et de l'animisme).

Cahier de textes 6eC : histoire.

Correction du TP noté : les élèves mettent en évidence qui n'est pas citoyen à Athènes et quelle est la fonction religieuse et civique de la fête des Panathénées. On reconstitue la fête à l'aide de la frise du Parthenon en imaginant un récit.

-pour le 17/12/2010 : document 1 p 50, question 2 p 51.

Cahier de textes 6eD : histoire.

Correction du TP noté : les élèves mettent en évidence qui n'est pas citoyen à Athènes et quelle est la fonction religieuse et civique de la fête des Panathénées. On reconstitue la fête à l'aide de la frise du Parthénon en imaginant un récit.

-pour le 17/12/2010 : document 1 p 50, question 2 p 51.

mercredi 15 décembre 2010

Cahier de textes 5eA : histoire.

Trace écrite : un tableau découpant le récit de la bataille est proposé aux élèves, avec une colonne pour la signification historique de chaque épisode.

Un portait de Philippe-Auguste est dessiné, à travers deux exemples : la situation de la capitale à Paris (plan et photographies du Louvres médiéval), l'emploi des baillis.

-pour le 16/12/2010 : répondre à la première question de la fiche polycopiée (cartes du royaumes de France + plan de Paris).
-pour le 17/12/2010 : interrogation écrite sur les premiers états et le système féodal.

Cahier de textes 6eD : histoire.

La cité des Athéniens.

I Être citoyen à Athènes : la fête des Panathénées.

Localisation d'Athènes à partir de cartes de la Méditerranée et de la Grèce à différentes échelles + description de la cité d'Athènes (rappel du cours sur le monde grec).

Les élèves lisent le texte "Xénia à la fête des Panathénées". Relevé des mots diffciles avec une explication : construction d'un cadre géographique à différentes échelles de l'espace civique et religieux d'Athènes (cartes, plans et images -Acropole et Parthénon).

TP avec question sur la compréhension globale du texte : paragraphe par paragraphe, on dégage la spécificité d'une fête qui mèle religion et civisme, qui fait participer citoyens et non-citoyens.

Cahier de textes 5eB : histoire.

Kanga Moussa, empereur du Mali.

Entrée à travers la perception des populations africaines par les occidentaux du Moyen-âge : aspect négatif du clergé (vision de l’Enfer) et aspect positif des géographes et des commerçants (Atlas Catalan). Les élèves décrivent l’Afrique du Nord selon ce dernier document : mise en évidence de liens commerciaux avec le monde arabo-musulman et chrétien + description du personnage de Kanga Moussa.
Les élèves comparent l’image de la royauté africaine vue par un chrétien et l’image du souverain laissé par un historien arabe. Comparaison des symboles du pouvoir avec ceux vus chez Philippe-Auguste : on dégage une spécificité culturelle. Les éléments permettent de faire un récit de débuts de l’empire (évocation de Soundjata avec l’art oral des griots et différentiation entre la légende et l’histoire). Carte complétée.

-pour le 16/12/2010 : finir la fiche polycopiée (lire les trois textes et remplir le tableau au crayon de bois).

lundi 13 décembre 2010

Cahier de textes 6eC : histoire.

Les élèves lisent le texte "Xénia à la fête des Panathénées". Relevé des mots diffciles avec une explication : construction d'un cadre géographique à différentes échelles de l'espace civique et religieux d'Athènes (cartes, plans et images -Acropole et Parthénon).

TP avec question sur la compréhension globale du texte : paragraphe par paragraphe, on dégage la spécificité d'une fête qui mèle religion et civisme, qui fait participer citoyens et non-citoyens.

Cahier de textes 3eC : éducation civique.

III Être citoyen dans la Répubique française.

Débat autour des acquis des I et II + vécu des élèves-citoyens. A travers un travail d'écriture autonome des élèves, on dégage les deux fondements de la citoyenneté française : l'appartenance à une nation (défiition et exemples) et le respect d'un état de droit républicain (droits et devoirs).

samedi 11 décembre 2010

Cahier de textes 5eA : histoire.

Poursuite de l'étude de la bataille (textes de Guillaume le Breton) : analyse de l'attitude du roi face à l'Eglise, durant la bataille (haine de Renaud de Boulogne et sens du sacrifice des chevaliers français). Le caractère hors du commun de Philippe-Auguste permet de glisser de la notion de suzeraineté à celle de souveraineté : explication de la situation des capétiens face aux Plantagenêts au XIIIe + sens de la cérémonie du sacre (p 53).

-pour le 17/12/2010 : interrogation écrite sur les premiers états et le système féodal. 

cahier de textes 5eC : histoire.

Trace écrite : un tableau découpant le récit de la bataille est proposé aux élèves, avec une colonne pour la signification historique de chaque épisode.

Un portait de Philippe-Auguste est dessiné, à travers deux exemples : la situation de la capitale à Paris (plan et photographies du Louvres médiéval), l'emploi des baillis.

-pour le 17/12/2010 : interrogation écrite sur les premiers états et le système féodal.

Cahier de textes 5eB : histoire.

Fin du travail sur Philippe-Auguste et trace écrite complétée sur la fiche (carte du royaume en 987 et 1223 + étude de la carte de la France au XVe -idée que Philippe-Auguste représente une étape dans la construction du pouvoir royal des Capétiens + plan de Paris au début du XIIIe siècle).

-pour le 17/12/2010 : interrogation écrite sur les premiers souverains et le système féodal.  

Cahier de textes 3eC : éducation civique.

Deux caricatures permettent de faire la différence entre l'indivisibilité et la décentralisation. La laïcité, à partir de caricatures de Plantu et d'une analyse d'un extrait du règlement intérieur, fait l'objet d'une étude comparative avec l'approche anglo-saxonne des manifestations publiques de pensée (notamment à l'école) et d'un débat en classe. La dimension sociale de la République est vue à travers la comparaison de deux cartes vitales (une vraie et une fausse -en fait une caricature). Rappel  des acquis de 5e. Lecture de l'article 1 de la Constitution pour formaliser les valeurs républicaines.  

cahier de textes 6eD : éducation civique.

Trace écrite : correction du questionnaire à faire à la maison (polycopié), du tableau + travail sur l'identité de Marcel Carné (acte de naissance).

-pour le 17/12/2010 : DS sur Habiter le monde rural.



Cahier de textes 6eC : éducation civique et histoire.

Trace écrite : correction du questionnaire à faire à la maison (polycopié), du tableau + travail sur l'identité de Marcel Carné (acte de naissance).

La cité des Athéniens.

I Être citoyen à Athènes : la fête des Panathénées.
Localisation d'Athènes à partir de cartes de la Méditerranée et de la Grèce à différentes échelles + description de la cité d'Athènes (rappel du cours sur le monde grec).

-pour le 17/12/2010 : DS sur Habiter le monde rural.

jeudi 9 décembre 2010

Cahier de textes 5eA : histoire.

Féodaux, souverains et premiers états au Moyen-âge.

Étude de cas : la bataille de Bouvines. Présentation des sources (images et textes), localisation (carte politique de l'Occident au XIIIe siècle, carte du royaume de Philippe-Auguste). Une enluminure met en place les personnages. Un extrait du Philippide permet d'introduire, à travers le rôle de Renaud de Boulogne et de Ferrand de Portugal, les notions du système féodo-vassalique.

Cahier de textes 5eC : histoire.

Poursuite de l'étude de la bataille (textes de Guillaume le Breton) : analyse de l'attitude du roi face à l'Église, durant la bataille (haine de Renaud de Boulogne et sens du sacrifice des chevaliers français). Le caractère hors du commun de Philippe-Auguste permet de glisser de la notion de suzeraineté à celle de souveraineté : explication de la situation des capétiens face aux Plantagenêts au XIIIe + sens de la cérémonie du sacre (p 53).


Cahier de textes 5eB : histoire.

Poursuite de l'étude de la bataille (textes de Guillaume le Breton) : analyse de l'attitude du roi face à l'Eglise, durant la bataille (haine de Renaud de Boulogne et sens du sacrifice des chevaliers français). Le caractère hors du commun de Philippe-Auguste permet de glisser de la notion de suzeraineté à celle de souveraineté : explication de la situation des capétiens face aux Plantagenêts au XIIIe + sens de la cérémonie du sacre (p 53).

trace écrite : un tableau découpant le récit de la bataille est proposé aux élèves, avec une colonne pour la signification historique de chaque épisode.

Un portait de Philippe-Auguste est dessiné, à travers deux exemples : la situation de la capitale à Paris (plan et photographies du Louvres médiéval), l'emploi des baillis.

Cahier de textes 6eC : éducation civique.

La lecture des articles 55 à 57 + 331-1 du Code civil permet de décrire la procédure de l'acte de naissance (officialisation par l'état de la protection et de l'obligation de l'identité), parallèlement à l'étude de l'acte de Cléo. Les élèves réfléchissent sur la possibilité d'accoler les patronymes des deux parents. La lecture de l'article 7 de la Convention des droits de l'Enfant introduit la notion de nationalité comme élément de l'identité, en parallèle à l'étude de la carte d'identité de Cléo. Les élèves réfléchissent à partir de cas de la classe, à la nécessité d'appartenir à une nation.

-pour le 11/12/2010 : compléter la colonne de droite du tableau (poly) à l'aide de votre livret de famille. 

Cahier de textes 6eD : éducation civique.

La lecture des articles 55 à 57 + 331-1 du Code civil permet de décrire la procédure de l'acte de naissance (officialisation par l'état de la protection et de l'obligation de l'identité), parallèlement à l'étude de l'acte de Cléo. Les élèves réfléchissent sur la possibilité d'accoler les patronymes des deux parents. La lecture de l'article 7 de la Convention des droits de l'Enfant introduit la notion de nationalité comme élément de l'identité, en parallèle à l'étude de la carte d'identité de Cléo. Les élèves réfléchissent à partir de cas de la classe, à la nécessité d'appartenir à une nation.

-pour le 11/12/2010 : compléter la colonne de droite du tableau (poly) à l'aide de votre livret de famille. 

Cahier de textes 3eC : éducation civique.

Évocation des lieux et des objets où l'on trouve les symboles républicains. 

Travail sur une photographie de panneaux indicateurs en Corse, tagués par le FLNC : illustration de la notion d'indivisibilité que l'on complète avec l'étude de la carte des départements et des régions (et qui introduit celle de décentralisation).     

-pour le 17/12/2010 : interrogation écrite sur les repères histoire de 6e et 5e (pp 374-375).

mercredi 8 décembre 2010

Cahier de textes 6eC : éducation civique.

L'Enfant.

I L'Enfant a une identité.

Étude de cas : les différents documents qui définissent l'identité de la jeune Cléo. Les élèves réfléchissent sur un faire-part de naissance pour en tirer diverses informations. Le caractère incomplet de ce document permet de dégager des critères qui définissent une identité. Son caractère officieux les oriente vers l'étude de l'acte de naissance.

Cahier de textes 3eC : éducation civique.

Trace écrite.

II La République française : ses symboles et ses valeurs.

Entrée par la photographie polémique issu du concours de la FNAC de Nice : débat sur la valeur d'un symbole républicain. Les élèves en déduisent d'autres symboles dont ils découvrent la reconnaissance légale (Constitution de 1958) et dont ils rappellent le passé et les valeurs (acquis de 4e). D'autres symboles sont évoqués (monuments aux morts, comme celui d'Aix, vu durant le voyage du 26/11).

Histoire des arts 5e : Le monde des chevaliers à travers les romans de Chrétien de Troyes.

Chrétien de Troyes (1135 ?-1191?) est né et à vécu au XIIe siècle, dans le royaume de France, peut être  à Troyes. On sait peu de choses de sa vie. Certains détails biographiques ont été donnés dans ses œuvres. Ses origines sont peu claires. Certains pensent qu’il est né dans une famille de la petite noblesse. D’autres ont avancé qu’il était juif (Troyes est alors un des centres européens de la culture judaïque). C'est  un clerc,  proche des milieux nobles pour lesquels il travaille. Il a ainsi écrit Lancelot ou le chevalier à la charrette pour Marie de Champagne, fille d'Aliénor d'Aquitaine et de Louis VII. Dans le prologue de sa dernière œuvre, Perceval ou le Conte du Graal, il indique être au service de Philippe d'Alsace, comte de Flandre et soupirant de Marie de Champagne. 

Chrétien a écrit cinq romans chevaleresques en vers octosyllabiques. S'inspirant des légendes bretonnes et celtes autour du Roi Arthur et de la quête du Graal, Chrétien de Troyes produit trois romans de chevalerie : Lancelot ou le Chevalier de la charrette (1176), Yvain ou le Chevalier au lion (vers 1176), et Perceval ou le Conte du Graal (vers 1180). Il puise dans la tradition celtique et bretonne (la matière de Bretagne) mais donne aux aventures des compagnons d’armes d’Arthur, une dimension morale et chrétienne, typique de la littérature courtoise de l’époque. Les aventures des chevaliers sont individuelles et non collectives : leur quête est fondée sur une série d’épreuves qui révèlent les qualités de chacun. Les héros sont souvent confrontés à un choix difficile, pris en étau entre leur amour (Lancelot et Guenièvre, sa reine, dont il est amoureux, Yvain et Laudine) et leur devoir moral de chevalier. Ainsi, Lancelot doit subir l'humiliation de monter dans une charrette conduite par un bouvier pour pouvoir délivrer la reine Guenièvre, prisonnière de Méléagant  (humiliation qu'il accepte, d'ailleurs, après quelque hésitation).

Lancelot dans sa charrette.

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Pour avoir abandonner Laudine après ses exploits de la fontaine de Barenton, Yvain devient momentanément fou.

Yvain s'agenouille devant Laudine, puis se réconcilie avec elle.
Au-delà de leurs exploits personnels et de l'élan qui les pousse vers leurs dames, les chevaliers deviennent surtout, dans l'accomplissement d'une grande quête religieuse (la quête du Graal ou la recherche de la coupe du Christ) en soldats de Dieu (milites christi). C'est le cas de Perceval, qui perd vite de vue Blanchefleur pour partir à la quête de la précieuse relique.

Bien qu’important, le roi Arthur n’est pas le personnage principal de ces livres : c’est un e sorte de centre géographique, qui permet aux chevaliers de se croiser autour de la Table ronde.

Les aventures des héros de Chrétien de Troyes sont lues ou écoutées par les nobles (Marie de Champagne  a imposé le thème de Lancelot à Chrétien). Elles sont un miroir du monde seigneurial. Perceval, Yvain ou Lancelot sont des modèles à suivre. L’historien peut puiser dans ces œuvres des éléments importants  pour comprendre la façon dont vivaient les seigneurs et la manière dont ils pensaient et voyaient la société de leur temps autour du XIIe siècle. 

1-La formation du chevalier et l'adoubement. 
Le chevalier doit suivre une formation morale et technique qui le conduit à la cérémonie de l’adoubement . Cette cérémonie consacre son entrée sociale et symbolique dans un monde de guerriers d’exception, régi par un rigoureux code moral. Dans la première partie du Perceval, le lecteur suit l'initiation d'un jeune valet (un petit noble, pas encore parvenu au rang de chevalier) orphelin de père, tenu à l'écart du monde et de la chevalerie par sa mère, trop protectrice. En acceptant l'enseignement de Gornemant de Gohort, il rejette l'éducation stérile  maternelle (le monde de  la Nature et de la forêt) pour accéder aux valeurs du monde paternel (chevalerie, virilité, courtoisie)  :

« Le seigneur se baisse et lui chausse l'éperon droit, comme la coutume le voulait de qui adoubait un chevalier. Les écuyers sont nombreux tout autour : chacun se presse pour l'armer. Le seigneur prend l'épée, la lui ceint et lui donne l'accolade. « En vous remettant l'épée, lui dit-il, je vous confère l'ordre de chevalerie, qui ne souffre aucun bassesse. Beau-frère, souvenez-vous qu'au combat, si votre adversaire vaincu demande grâce, vous devez l'écouter et ne pas le tuer sciemment. S'il vous arrive de trouver dans la détresse homme ou femme, dame ou demoiselle, conseillez-les. Vous ferez bien. Enfin, recommandation très importante, allez volontiers à l'église prier Dieu qu'il ait pitié de votre âme et qu'il vous garde comme un fidèle chrétien. » Le seigneur alors fait sur lui le signe de croix.

Chrétien de Troyes, Perceval ou le Conte du Graal, XIIe siècle. »

Cette description montre bien une cérémonie où se mêlent la symbolique militaire (le don des armes), le rappel des règles morales (le discours de Gornemant sur la nécessité de protéger les faibles, de combattre dignement et de défendre l'Eglise) et l'onction religieuse (le signe final de la croix).   

2-Le chevalier au combat.
Le seigneur maîtrise une technique de combat équestre, puis au sol,  fondée sur des armes défensives (heaume, écu, armure lourde, cotte de mailles et haubert) et offensives (épée, lance). Mais il suit des règles de bonne conduite au combat. Face à Méléagant, Lancelot apparaît comme le chevalier parfait, techniquement et moralement supérieur. 

«Lancelot fond sur Méléagant avec une fureur bien digne de sa haine. Avant de l'attaquer, il lui crie cependant d'une voix menaçante :

- Venez par là: je vous fais un défi et tenez pour certain que je ne voudrai pas vous épargner. 

Il éperonne alors son destrier et retourne en arrière à une portée d'arc pour prendre un peu de champ. Puis les deux combattants se précipitent l'un sur l'autre au plus grand galop des chevaux. De leurs lances bientôt ils ont heurté si fort leurs solides écus qu'ils les ont transpercés. [. . .] Étriers, sangle, courroies, rien ne put empêcher leur chute : il leur fallut vider leur selle et par-dessus les croupes des chevaux tomber sur le sol nu. Les coursiers fous de peur errent de tous côtés; en ruant, en mordant, ils voudraient eux aussi s'entre-tuer. Les chevaliers jetés à bas se sont bien vite relevés d'un bond. Ils tirent leurs épées où des devises sont gravées. L'écu à la hauteur de leur visage, ils pensent désormais au moyen le meilleur de se faire du mal avec l'acier tranchant. Lancelot n'avait pas la moindre crainte : il s'entendait deux fois plus que Méléagant à jouer de l'épée, car il avait appris cet art dans son enfance. Ils frappent tous les deux si bien sur leurs écus et sur leurs heaumes lamés d'or que les voilà fendus et bosselés. Mais Lancelot de plus en plus presse Méléagant : d'un coup puissant il tranche le bras droit pourtant bardé de fer que l'imprudent aventurait à découvert par-devant son écu. En se sentant si malmené, Méléagant [...] est presque insensé de rage et de douleur. Il s'estime bien peu, s'il n'a recours à quelque fourberie. Il fond sur l'adversaire en comptant le surprendre. Mais Lancelot se donne garde : avec sa bonne épée, [...] il le frappe en effet au nasal qu'il lui enfonce dans la bouche en lui brisant trois dents. Dans sa souffrance et sa fureur Méléagant ne peut dire un seul mot. Il ne daigne non plus implorer la pitié, attendu que son cœur, en mauvais conseiller, l'enferme dans les rets de son aveugle orgueil. Son vainqueur vient sur lui : il délace son heaume et lui tranche la tête. Méléagant ne jouera plus de mauvais tour à Lancelot : le voilà tombé mort.

Chrétien de Troyes, Lancelot ou le chevalier à la charrette, XIIe siècle. »

Yvain, le chevalier au lion, au combat.

3-Le château-fort.
Le seigneur vit dans un château-fort, dont Chrétien de Troyes a laisse des descriptions architecturales très précises. Mais on peut aussi voir dans ces châteaux magiques, comme le château du Roi pêcheur (vers lequel ici Gauvain s'approche), peut-être un peu trop grands et un peu trop luxueux, une idéalisation de forteresses souvent rustiques et exigües au XIIe siècle. 

« Arrivé là où la rivière est bien près du terme de sa course, le valet tourne vers la gauche et voit naître les tours du château, car c’est bien ainsi qu’elles lui apparaissent, comme si elles sortaient du château même. Au milieu du château s’élevait une forte et haute tour ; une solide barbacane commandait le débouché de la rivière, où les eaux se mêlaient tumultueusement à celles de la mer, et les vagues venaient se briser contre le mur. Aux quatre coins de la muraille construite en forts moellons, quatre tours basses et trapues, de belle allure. Le château avait grand air et à l’intérieur il était disposé à souhait. Devant un châtelet rond, un haut et robuste pont de pierre bâti à sable et à chaux, flanqué de bastions sur toute sa longueur et pourvu d’une tour au milieu, enjambait la rivière ; au bout, un pont-levis, fidèle à sa mission : pont le jour, porte close la nuit. Vers ce pont s’avance le valet. 
Chrétien de Troyes, Perceval ou le Conte du Graal, XIIe siècle. »

Yvain face Laudine, devant son château.

4-Le chevalier et le vilain.
Le seigneur vit dans le cadre d'une seigneurie. Il s'appuie sur des paysans qui travaillent la terre pour lui, et dont il perçoit maintes redevances, corvées et impôts. Les chevaliers des romans de Chrétien de Troyes doivent aider les vilains sans défense. Pourtant, beaucoup d’entre eux sont mal vus, comme ce paysan sur qui Chrétien de Troyes accole des références diaboliques : la couleur marron, des comparaisons animales peu flatteuses avec le sanglier, l’ours, le chat ou le loup. Ici, Calogrenant raconte sa rencontre avec un étrange paysan :

« Je m'approchais de ce vilain et vis qu'il avait une plus grosse tête qu’un roncin ou qu’une autre bête, des cheveux mêlés en broussaille, un front pelé de plus de deux empans de large. Des oreilles moussues et grandes comme celles d'un éléphant, des sourcils touffus, un visage plat, des yeux de chouette et un nez de chat, une bouche fendue comme le loup, des dents de sanglier, aigües et brunes, une barbe noire […], un menton soudé à la poitrine, une longue échine, tordue et bossue. Il était appuyé sur sa massue, vêtu d’une très étrange façon. Ce n'était pas un vêtement de toile ni de laine mais ceux de deux cuirs nouvellement écorchés, en cuir de taureau ou en cuir de bœuf.

Chrétien de Troyes, Yvain ou le chevalier au lion, XIIe siècle.»

Pour aller plus loin :


Sur Chrétien de Troyes et ses œuvres :

Une excellente synthèse sur Yvain ou le chevalier au lion.
 
Des conseils de lecture pour le niveau collège : ici et ici.

Sur la matière de Bretagne en général : 

Le cinéma a beaucoup adapté la légende arthurienne, en donnant souvent une vision historique approximative. Voici un combat entre deux chevaliers de la cour d'Arthur (dont Lancelot du Lac) tiré du très beau Excalibur de John Boorman (1981). Si les armures sont trop rutilantes, on voit bien le rituel très codifié du combat et l'attention qu'y portent les dames, au premier rang desquelles la reine Guenièvre.



Dans Monty Python Sacré Graal ! (1975), l'équipe des humoristes anglais rend le combat de chevalerie proprement loufoque. Arthur découpe en morceaux le Chevalier noir de manière invraisemblable.



Il faut voir le site de la Bibliothèque nationale de France. Une visite virtuelle de la légende arthurienne à travers les livres et les images est proposée.

lundi 6 décembre 2010

Correction du sujet d'éducation civique : les syndicats en France.

Etude de documents :

Document 1 :

1-Il existe en France plusieurs syndicats. Sur le document 1, on voit une banderole montrant le sigle de plusieurs organisations (CFDT, CFE-CGC, CGT).

2-Dans ce cas, ces salariés protestent contre des licenciements opérés par l'usine Moulixex de Fresnay-sur-Sarthe en 2006.

3-Le salariés utilisent la manifestation pour exprimer leur colère.

Document 2 :

4-Un syndicat a pour mission de "défendre et d'étendre les droits de tous les salariés" (texte 1, lignes 2-3).

5-Dans le document 2, le texte 2 évoque une mission de conseil des syndicats auprès des salariés (ici, des jeunes saisonniers). Le texte 3 aborde la question des négociations entre syndicats et chefs d'entreprise.

Documents 1, 2 et 3 :

6-Dans le préambule de la Constitution de 1946, on évoque la garantie du droit de grève à la ligne 6.

7-L'action des salariés de Moulinex correspond à la ligne 1 et 2 de la Constitution de 1946 ("Tout homme peut défendre ses droits et ses intérêts par l'action syndicale et adhérer au syndicat de son choix"). Dans le document 2, le texte 3 montre que les négociations portent sur la manière d'embaucher de nouveaux salariés. Dans la Constitution de 1946, il est dit : "Tout travailleur participe, par l'intermédiaire de ses délégués, à la détermination collective des conditions de travail ainsi qu'à la gestion des entreprises").

Paragraphe argumenté :

Pour construire un plan, on pouvait suivre le sujet, qui évoque le rôle et l'influence des syndicats. Sans oublier de définir le terme "syndicat" en introduction !

I-Le rôle. Les documents 1, 2 et 3 permettent de couvrir trois aspects majeurs de l'action syndicale : le rôle de contestation (documents 1 et 3 : grève, manifestation, en rappelant la récente contestation nationale contre la réforme des retraites), le rôle de négociation (document 2) et le rôle de conseil juridique (document 2, qui peut amener à évoquer le rôle des syndicats aux prud'hommes).

II-L'influence. Le document 1 peut montrer la force d'une mobilisation ponctuelle, que renforcent les mobilisations syndicales récentes. Mais les documents n'abordent pas certains aspects critiques : usure de l'opinion publique face à la grève, faible adhésion syndicale en France, montée en force des coordinations (précaires, chômeurs, jeunes).

Correction du sujet d'Histoire : Le Front populaire.

Etude de documents :

Document 1 :

1-Les forces qui composent le Front populaire sont la SFIO, le PCF et les radicaux.

2-Le parti majoritaire est la SFIO (182 sièges), même s'il n'a pas la majorité absolue à l'Assemblée.

3-Le Président du Conseil est le socialiste Léon Blum.

Document 2 :

4-Dans son discours du 5 juin 1936, Blum annonce la semaine de 40 heures, les congés payés, les conventions collectives (lignes 9 à 11).

5-Ces réformes s'adressent au monde ouvrier (lignes 12-13).

6-L'auteur demande de "poursuivre les revendications dans le calme, la dignité et la discipline" car la victoire du Front populaire aux élections est accueillie par une grève d'un mois qui paralyse l'économie de la France.

Documents 2 et 3 :

7-Dans le document 2, Blum parle des "desseins obscurs du patronat" (ligne 22). Le document 3 est une affiche de propagande produite par des partis de Droite, hostiles au Front populaire.

8-Les opposants au Front populaire font des reproches d'ordre économique. Dans le document 3, on accuse Blum de ruiner le pays.

Paragraphe argumenté :

Il fallait construire le paragraphe selon le plan donné par le sujet :

I-La naissance du Front populaire peut être abordée à l'aide du document 1, mais aussi d'éléments du cours qui permettent d'expliquer la venue de cette coalition électorale (la crise économique et les difficultés ouvrières, la crise républicaine du 6 février 1934).

II-Les réussites du Front populaire se mesurent  à l'aide du document 2 (à condition de citer les Accords Matignon et de les dater). On peut ajouter d'autres éléments de cours comme les innovations liées aux loisirs et au temps libres (oeuvre de Lagrange, auberges de Jeunesse), la venue d'une femme dans un gouvernement (Irène Joliot-Curie) ou la nationalisation de la SNCF en 1937. Il faut insister sur la courte période qui a vue la mise en oeuvre de ces réformes.

III-La fragilité du Front populaire se voit à travers les documents 2 et 3 (les reproches du patronat et de la Droite). Mais on peut aussi remarquer que certaines mesures ne portent pas leurs fruits (pas de baisse du chômage), que l'agressivité de l'extrême-droite est sensible (attaques antisémites contre Blum, Affaire Salengro), qu'enfin l'entente entre socialistes et communistes explosent avec la question de la participation à la Guerre d'Espagne.

dimanche 5 décembre 2010

Cahier de textes 5eB : histoire.

Correction du DS sur Seigneurs et paysans au Moyen-âge.

Féodaux, souverains et premiers états au Moyen-âge.

Etude de cas : la bataille de Bouvines. Présentation des sources (images et textes), localisation (carte politique de l'Occident au XIIIe siècle, carte du royaume de Philippe-Auguste). Une enluminure met en place les personnages. Un extrait du Philippide permet d'introduire, à travers le rôle de Renaud de Boulogne et de Ferrand de Portugal, les notions du système féodo-vassalique.

Cahier de textes 5eA : histoire.

Correction du DS sur Seigneurs et paysans au Moyen-âge.

Étude de cas -la Seine Saint Denis. Un tableau statistiques permet de définir les problèmes liés à la déscolarisation et à l'emploi, qui conditionnent une condition de pauvreté que l'on décrit (problèmes de logement et d'équipement, malnutrition, problèmes de santé comme l'obésité) et que l'on compare avec celles vues en Inde et au Mali. 

-pour le 12/12/2010 : prendre ses affaires d'histoire. 

Cahier de textes 5eC : histoire.

Correction du DS sur Seigneurs et paysans au moyen-âge.

Fin de l'explication sur la structure féodo-vassalique à l'époque de Philippe-Auguste. Transposition des rapports suzerains/vassaux à l'échelle de la Flandre et du royaume des Francs. Le jeu de bascule de Ferrand, entre Philippe-Auguste et Jean sans Terre (carte) permet de montrer l'idée d'une inexistence de l'idée de nation française à l'époque, la force des liens féodaux, la difficulté du roi à étendre son domaine et son autorité au-delà de son domaine.

Cahier de textes 6eC : histoire et géographie.

Correction du DS sur le monde grec.

Les élèves réalisent, sans être prévenus, un croquis sur le village du Sénégal (éléments à représenter, légende et image Google Earth projetée). La correction est le croquis donné en polycopié, complété en classe avec une légende fournie, construite avec les élèves.

-pour le 09/12/2010 : coller le texte dans le cahier de géographie. Prendre ses affaires d'éducation civique.

Cahier de textes 6eD : histoire et éducation civique.

Correction du DS sur le monde grec.

L'Enfant.

I L'Enfant a une identité.

Étude de cas : les différents documents qui définissent l'identité de la jeune Cléo. Les élèves réfléchissent sur un faire-part de naissance pour en tirer diverses informations. Le caractère incomplet de ce document permet de dégager des critères qui définissent une identité. Son caractère officieux les oriente vers l'étude de l'acte de naissance.

jeudi 2 décembre 2010

Cahier de textes 3eC : histoire / éducation civique.

DS type brevet au choix : histoire (le Front populaire) ou éducation civique (le rôle des syndicats).

Cahier de textes 5eC : histoire.

DS : Seigneurs et paysans au Moyen-âge.

Cahier de textes 5eB : histoire.

DS : Seigneurs et paysans au Moyen-âge.

Cahier de textes 5eA : histoire.

DS : Seigneurs et paysans au Moyen-âge.

Cahier de textes 6eD : histoire.

DS : le monde grec.

Cahier de textes 6eC : histoire.

DS : le monde grec.

mercredi 1 décembre 2010

Cahier de textes 5eA : géographie.

Correction du TP sur la campagne malienne : analyse et description, à échelle régionale, d'une pauvreté de PMA. 

Localisation du Mali sur la carte de la pauvreté mondiale et sur le fond de carte vierge.

Les élèves mettent en évidence dans le tableau de synthèse, une définition de la notion de pauvreté et sa relativité entre deux pays (un PMA et un pays émergent) ou deux régions (un rural et un urbain en Inde). 

La pauvreté en France : entrée par les clichés mentaux des élèves sur la pauvreté en France, confortés par une recherche rapide de photographies sur Google. Un texte permet de définir les critères de pauvreté du pays. On évacue la question des inégalités de revenues (définition de classes moyennes à travers une carte des répartitions salariales dans les régions françaises) pour insister sur des critères qualitatifs.

Cahietr de textes 5eB : géographie et histoire.

Fin de la trace écrite dans le tableau comparatif et petit texte de synthèse élaboré avec les élèves (définition de la pauvreté, nuances apportées en fonction des échelles, rapport entre la pauvreté et le développement durable).

Féodaux, souverains et premiers états au Moyen-âge.

Etude de cas : la bataille de Bouvines. Présentation des sources (images et textes), localisation (carte politique de l'Occident au XIIIe siècle, carte du royaume de Philippe-Auguste). Une enluminure met en place les personnages. Un extrait du Philippide permet d'introduire, à travers le rôle de Renaud de Boulogne et de Ferrand de Portugal, les notions du système féodo-vassalique.

Cahier de textes 6eD : géographie.

Les élèves réalisent, sans être prévenus, un croquis sur le village du Sénégal (éléments à représenter, légende et image Google Earth projetée). La correction est le croquis donné en polycopié, complété en classe avec une légende fournie, construite avec les élèves.

-pour le 09/12/2010 : coller le texte dans le cahier de géographie. Faire l'exercice A1 de la fiche d'éducation civique, avec le manuel d'éducation civique, documents pp 32-33.